Est-il difficile de devenir digital nomad ? Dans l’absolu non. Mais alors, pourquoi si peu de personne passent le cap ? Pourquoi si peu de personnes y arrivent ? Qu’est-ce qui empêchent de passer le cap ? Devenir totalement libre de choisir l’endroit où l’on veut vivre et travailler ? Parlons en !
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Les différents visages du digital nomadisme
Déjà qu’est-ce que le digital nomadisme ? C’est le fait de pouvoir travailler de n’importe où dans le monde grâce à Internet.
Il y a 5 grandes familles de digital nomad :
Les blogueurs/YouTubeur/Instagrameurs professionnels
Ce sont, de très loin, ceux qui suscitent le plus de fantasmes. Ce sont vos blogueurs, youtubeurs ou instagrameurs préférés qui semblent profiter d’une vie idyllique tout en gagnant des milliers d’euros. En réalité, ce n’est pas si simple que ça. Mais il est vrai que leur position peut susciter beaucoup d’envie, compte tenu de leurs avantages. Si l’on est capable de vivre avec les inconvénients qui vont avec (anonymat de plus en plus difficile, exposition de sa vie privé, exposition aux haters, fans intrusifs, une image forte à tenir coûte que coûte…).
Cette situation est de plus en plus difficile à atteindre. Mais elle reste possible à ceux qui se donnent les moyens d’y parvenir.
Les freelances
Les freelances sont les indépendants du Net. Ils vendent leurs services via Internet et travaillent au grès des missions qu’ils trouvent (graphiste, monteur, programmeur, webmaster…).
Le freelancing semble facile aux premiers abords. Mais vous devez être capable de trouver régulièrement de nouveaux clients pour générer les revenus dont vous avez besoin. Un grand nombre galèrent. Un petit nombre prospèrent. A vous de voir dans quel camp vous serez.
Les salariés en télétravail
C’est de loin la position la plus sécurisante pour la plupart d’entre nous. Être salarié d’une entreprise et pouvoir travailler non seulement de son domicile, mais aussi de n’importe où dans le monde. A voir selon votre emploi et les exigences de votre patron. Parfois il ne suffi que d’un peu de courage pour décrocher ce sésame. A vous de voir !
Le ecommerçant
Le ecommerçant est l’une des grandes tendance du moment. C’est le fait de vendre via Internet des produits physique. Comme Amazon. Mais en plus petit. On y trouve les sites de ventes classiques (ceux qui vendent des produits qu’ils ont en stock chez eux) et le fameux dropshipping. Le dropshipping est l’un des business à la mode. Il consiste à créer un site de vente et d’y proposer les produits des grandes plateformes chinoises de vente en ligne. C’est eux qui se chargent de l’envoie et du stockage. Ce business est donc quasi-entièrement automatisé. S’il est bien mené, ce business peu rapporter gros. Sinon il ne vous rapportera rien.
L’infopreneur
La vente d’infoproduits est LA SECONDE ACTIVITÉ A LA MODE. C’est le fait de créer des ebooks, des formations sous le format numérique et de les vendre via son site, sa chaîne YouTube ou les réseaux sociaux. Ou bien de vendre ses compétences. Spécialement avec du coaching. Et de le vendre parfois très cher. Nous sommes dans la mode du Hight ticket en ce moment. Vendre très cher des produits.
Ce business plait, car il est automatisé à 90%. Si le marketeur à bien monté son business, il n’a quasiment pas besoin de travailler. Ceux qui ont une bonne stratégie et savent mener leur barque en vivent très bien. Les autres ne font que vivoter dans le meilleur des cas. Car ce n’est pas aussi simple que l’on croit.
Les freins les plus courants
A ce jour, je compte 2 principaux freins qui empêchent ceux qui le souhaitent de passer le pas. Et ces deux freins sont basés sur la peur.
Ceux qui ont charge de famille
Ce sont généralement ceux qui passent le moins à l’action car ils ont peur de ne pas pouvoir entretenir convenablement leur famille. De ne pas pourvoir préparer convenablement leur avenir. Cela se comprend très bien.
Ceux qui se mettent des freins uniquement psychologiques
Oui, je dis bien “ceux QUI SE METTENT des freins“. Car, bien que nous soyons grandement conditionné par notre entourage, c’est nous même qui prenons nos décisions et c’est à nous de maîtriser nos croyances et nos craintes. Le fait d’être libre nous donne cette responsabilité. Acceptons la et apprenons à connaître nos craintes et à ne nous laisser dominer par elles. Ou alors, il faut l’assumer jusqu’au bout.
2 pistes d’amélioration pour enfin devenir digital nomad
Si je n’avais QUE deux conseils à donner à une personne qui a pour projet de devenir digital nomad ils seraient les suivant :
- Monter son business au moins 1 an avant de se lancer en roue libre. Cela permet de tester leur idée et de la rentabiliser un minimum avant de partir. Cela rassurera ceux qui ont charge de famille. Et si un an ne suffi pas, prenez deux ans. Ce n’est pas si grave. Surtout si vous ne lâchez rien pour vivre la vie que vous souhaitez pour votre famille et vous.
- Automatiser au maximum son business AVANT de partir. Car ce n’est pas lorsque vous serez en voyage que vous devrez vous soucier de travailler 10 h par jour sur votre business. Surtout si vous n’êtes pas sûr de trouver des connections partout où vous serez.
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Bien à vous tous !
Erika
Sources : https://www.famille-nomade-digitale.com/5-profils-de-nomades-digitaux/